Amour je t'aime

Je t’aime, toi, énergie qui traverse nos vies. Tu es cette lumière douce et tenace qui défie les ombres. Toi qui murmures dans chaque battement de cœur, dans chaque regard échangé, dans chaque main tendue. Tu es le souffle des matins heureux, la caresse de la nuit paisible. Tu es la magie qui fait danser les âmes sur le fil fragile du destin.

Et aujourd’hui, je t’embrasse. Oui, je t’embrasse dans chaque être que je croise, dans chaque vie qui traverse la mienne, dans chaque fragment d’existence visible et invisible.

Je t’embrasse dans les murmures de la nature, dans le frisson des vents, dans le grondement des tempêtes émotionnelles.

Je t’étreins avec ferveur et douceur, toi qui circules librement, toi que rien ne peut enfermer, absolument aucune frontière ne peut te contenir.

Tu es là dans l’éclat du soleil et dans la pluie battante, dans le calme des forêts et la fougue des océans. Tu es dans une embrassade chaleureuse, dans un câlin tendre, dans le fait de tenir la main d’un enfant. Tu es un parfum, un ami, un parent, un amant.

Je t’aime parce que tu es un sentiment fugace, fragile et fort à la fois, un éclair dans l’éternité, un éclat d’éternité dans chaque seconde, une onde qui nous traverse avant de filer.

Où que tu passes, d’un bonheur tu laisses la trace, telle une empreinte indélébile qui colore le souvenir et parfume d’une douceur infinie. Et même lorsque l’on croit t’avoir perdu, tu es toujours là, tapie dans une larme de joie, dans un frisson de mémoire, prête à faire fleurir fleurs de bonheur.

Si l’on parvient à voir au-delà des doutes et des peurs, c’est grâce à toi. Si, au cœur des larmes et de la solitude, une lumière persiste, c’est encore grâce à toi.

Toi, tu te tiens toujours là, sans qu’on ait à quémander ta présence, fidèle compagnon. Tu respires doucement, une promesse silencieuse que rien n’est jamais fini.

Amour, nul sentiment ne t’égale et ne t’égalera jamais. Tu es la jauge juste de ce qui doit être. Dans ta vérité, il n’y a ni trop ni trop peu : tout s’équilibre quand on se remémore que tu es là. Tu es la seule mesure qui compte, le seul langage universel, le fil d’or qui relie tout ce qui vit.

Et alors que les siècles passent et que tout semble se transformer, toi, tu restes toujours en toile de fond depuis l'ère adamique. Sublimement éphémère, mais infiniment vrai.

Alors, amour, laisse-moi te le dire encore : je t’aime. Je t’aime pour tout ce que tu es, pour tout ce que tu fais, pour tout ce que tu apportes, et pour la façon dont tu transformes le monde.

Amour, je t’aime pour tout ce que tu caresses et tout ce que tu laisses. Je t’aime pour les traces que tu déposes sur nos âmes, comme une empreinte d’éternité dans l’éphémère. Je t’aime pour ta franchise et ton honnêteté, pour cette vérité brute et lumineuse que tu portes en toi, inébranlable. Je t’aime pour ta pureté, cette force rare qui ne trompe jamais, qui éclaire même nos ténèbres les plus profondes. Je t’aime même si parfois l’on peut penser que tu fais mal, tu n’es là que pour illuminer nos cœurs et nos corps.

Amour, je t’aime quand tu permets à mes larmes de couler, quand tu nous donnes le courage de dire au revoir à ceux qui nous accompagnent sur ce chemin fugace qu’est la vie. Je t’aime lorsque je suis à terre, brisée et esseulée, et que tu viens doucement me relever, tendant une main ferme et douce, m’embrasser de ta chaleureuse énergie.

Mais je te les répète encore, inlassablement, tel un psaume: je t’aime. Je t’aime, et je ne te le dirai jamais assez.